Dans ces techniques, le thérapeute fait participer activement le sujet. Cela permet de mobiliser les tissus et de conduire le sujet dans un état de relachement suffisant pour permettre la correction spontanée de la lésion ostéopathique.

Ces techniques mobilisent la structure osseuse pour la forcer à aller en sens inverse à sa lésion. Le thérapeute ne force jamais les articulations au-delà de leurs limites physiologiques. La force appliquée sert à provoquer un réflexe qui permet, plus ou moins rapidement, la récupération de la mobilité articulaire et la cessation de la douleur.

Les techniques crâniennes reposent sur le mouvement respiratoire primaire. L'ostéopathe va déceler, en sentant le mouvement involontaire des os du crâne, du sacrum et des tissus du corps, une lésion et va mettre en place différentes techniques crâniennes.

Il a été montré que les viscères avaient un mouvement spécifique sous l'action de la pression diaphragmatique. Lorsque ce mouvement est altéré ou disparaît, cela entraîne des symptômes. L'ostéopathe va permettre le retour à une mobilité normale des viscère et ainsi, la disparition des troubles associés.